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Valérie Serra

Valérie Serra

Qui suis-je ?

Après 26 ans en tant qu’infirmière puis infirmière de bloc opératoire, j’ai décidé d’évoluer vers un métier plus en adéquation avec mes convictions : la prévention primaire en santé et l’hygiène de vie.
Je souhaite partager ce que j’ai appris avec vous, mes consultants, pour vous permettre de rester acteurs de votre santé, car c’est vous qui décidez de votre santé, le but de cette démarche est d’éviter au maximum l’entrée dans le lésionnel au niveau du corps.

J’ai moi-même une spondylarthrite ankylosante (maladie auto-immune) et grâce à la Naturopathie je ne prends aucun traitement. Ceci en observant une certaine rigueur alimentaire parce que c’est ce qui est adapté pour moi.

Ma formation a été intensive et riche, elle a duré 1200 heures au Cenatho à Paris et j’ai eu ma certification AFNAT.

Naturopathie, définition et principes

Reconnue par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) comme étant la troisième médecine traditionnelle, aux côtés de la Médecine traditionnelle chinoise et de la Médecine ayurvédique. C’est une discipline holistique, c’est-à-dire qui prend en considération tous les aspects de la personne et cherche à agir, non pas sur le symptôme, mais sur la ou les cause(s).
Se plaçant avant tout en prévention, la naturopathie « vise à maintenir et/ou rétablir la santé par des moyens naturels ».
Le naturopathe cherche à rétablir les capacités d’autoguérison inhérente à chacun.
Il établit un bilan de vitalité, par différentes mesures de vitalométrie, pour mesurer le niveau de vitalité, il estime les surcharges et les carences alimentaires, le but étant de stimuler et renforcer les capacités de l’organisme.
Le naturopathe est un éducateur de santé, il donne des conseils d’hygiène vitale dans le but que la personne conserve la santé sur le long terme. Un naturopathe se doit de ne pas créer de dépendance avec ses clients ou consultants, mais au contraire de les guider sur le chemin de la santé en les rendant autonomes et acteurs de leur santé.



Valérie Serra

Les grands principes

La Naturopathie repose sur 4 piliers fondamentaux qui sont les suivants :

— D’abord ne pas nuire. Hippocrate le soulignait ainsi « Face aux maladies, avoir deux choses à l’esprit : faire du bien, ou au moins ne pas faire de mal ». Supprimer les symptômes peut causer plus de mal que de bien. On parle de « transfert morbide » : la cause est toujours là, on réduit son expression au silence, elle reviendra sur un autre organe, généralement amplifiée.
— Un corps humain en bonne santé possède en lui une capacité d’autoguérison qui lui permet de retrouver seul la santé.
Au cœur de l’organisme vivant se trouvent les forces de vie permettant d’y parvenir. Le rôle du médecin ou/et du thérapeute consiste à faciliter l’accès à ces forces en découvrant et en éliminant les obstacles qui s’y opposent.
— Découvrir et traiter la cause. Allant plus loin encore, Hippocrate disait « Recherchez la cause et traitez-la ».
Le rôle du naturopathe n’est don pas de tenter d’agir sur le symptôme, mais bien de remonter jusqu’à la cause de la pathologie et d’agir sur cette dernière de façon à rétablir l’équilibre naturel et faire en sorte que le symptôme n’ait plus à s’exprimer.
— Le naturopathe enseigne à son consultant les règles de fonctionnement de son corps et lui apprend à en prendre soin de façon naturelle. Les règles d’hygiène vitale concernent tous les domaines de la vie et considèrent les interactions qui existent entre les plans physique, mental, émotionnel et spirituel.

Chaque plan est à prendre en considération pour retrouver et conserver une santé parfaite. Les techniques naturopathiques. Soutenant ces 4 piliers, le naturopathe dispose de 10 techniques qu’il utilise en synergie, mais pas forcément de façon exhaustive. Les 3 techniques majeures, fondamentales sont : la nutrition ; l’exercice physique ; la gestion du mental, la psychorelaxation : relaxation schultz, jacobson, méditation, respiration, utilisation des fleurs de Bach, etc. Les 7 autres techniques, qui ne sont pas nécessairement utilisées à chaque fois, sont :

  • l’hydrologie : utilisation des bains froids, chauds, pédiluves, saunas, etc.
  • l’iridologie permet de confirmer les zones de faiblesse du corps
  • la réflexologie plantaire, nasale, des oreilles, de la langue, etc.
  • les techniques manuelles : massages
  • la phytothérapie
  • l’aromathérapie
  • le magnétisme

Tous les naturopathes selon les sensibilités n’utilisent pas toutes ces techniques. On ne dispose pas d’essais cliniques dont les résultats permettraient de démontrer l’efficacité de la naturopathie en tant que système intégré. Cependant, plusieurs techniques et approches utilisées en naturopathie ont fait l’objet d’essais cliniques (nutrition, balnéothérapie, aromathérapie, phytothérapie, etc.). La phytothérapie ou phytologie demeure toutefois la discipline qui, en naturothérapie, a fait l’objet du plus grand nombre d’études scientifiques. Cependant, il est important de rappeler que la formation de naturopathe en France donne des bases dans ces disciplines et que le naturopathe devra se former par ailleurs notamment pour avoir une connaissance précise et pointue des plantes.

Les techniques majeures utilisées lors de la consultation

La nutrition, l’exercice physique, la psychorelaxation, l’hydrologie.

Les techniques mineures utilisées

Certaines techniques réflexes selon la cure choisie (détox, revitalisation, etc.) : La sympathicothérapie, la réflexologie plantaire, l’auriculothérapie, etc.), les massages bien-être (massage californien, le massage maure…) et bien d’autres.
L’aromathérapie, la phytothérapie et bien d’autres méthodes seront utilisées selon l’anamnèse (interrogatoire).
Je pourrai également vous conseiller des compléments alimentaires si cela est nécessaire et seulement si !


Valérie Serra

Pourquoi aller voir un naturopathe ?

Il est possible de consulter un naturopathe pour différentes problématiques notamment en prévention santé ou en complément d’un suivi médical. Parmi les demandes, on peut retrouver :

  • maintenir un poids santé, perdre du poids
  • soutenir le système immunitaire
  • retrouver de l’énergie, moins de fatigue
  • adopter une alimentation saine
  • aider à gérer son stress, son anxiété
  • accompagner un sevrage du tabac
  • retrouver une meilleure digestion

Que fait un naturopathe ?

Le naturopathe va réaliser un bilan de l’individu en lui posant différentes questions. Il pourra alors lui proposer des mesures complètement adaptées sur le plan alimentaire, de l’activité physique, des outils de respiration, de relaxation, etc.
Une consultation de naturopathie comporte obligatoirement des recommandations dans ces 3 domaines.

Naturopathie : existe-t-il des dangers et contre-indications ?

La naturopathie est une médecine complémentaire et non alternative qui s’adresse à tous, quel que soit leur âge ou leur condition physique. En effet, il est intéressant de travailler à maintenir une bonne santé en prévention à tout âge de la vie. Idéalement, la naturopathie devrait se pratiquer dès le plus jeune âge, au moment où la force vitale est à son maximum. Cependant, même s’ils sont naturels, les outils que propose la naturopathie n’en restent pas moins efficaces et effectifs. C’est pourquoi il existe des contre-indications qui dépendent pleinement du profil de l’individu (notamment sur l’utilisation des plantes ou des compléments alimentaires).

Le naturopathe

Dans les États où la pratique est reconnue avec un diplôme d’état, on considère les naturopathes comme de véritables médecins de première ligne capables de traiter aussi bien des situations de crise que des troubles chroniques. S’ils estiment que des soins sortant de leur champ d’expertise sont requis, ils adresseront le patient à des spécialistes (médecins, chirurgiens, ostéopathes, etc.)
Dans les autres pays dont la France, les naturopathes sont considérés comme des conseillers en santé, ils ne sont pas médecins et ne peuvent prétendre diagnostiquer ou traiter une pathologie. Ils doivent readresser à un médecin quand le diagnostic n’a pas été posé et dès que des soins sont requis, dépassant le champ de leur expertise.



Devenir Naturopathe, la formation en naturopathie

Valérie Serra

En Amérique du Nord, on compte 6 institutions d’enseignement dont les programmes sont accrédités par le Council on Naturopathic Medical Education. Cet organisme est reconnu par les États, territoires et provinces où la naturopathie est réglementée. Deux de ces écoles sont situées au Canada et quatre aux États-Unis. Une autre école américaine est en voie d’accréditation (voir Sites d’intérêt). Toutes ces institutions offrent une formation universitaire de quatre ans à temps plein, soit au moins 4 000 heures, menant au titre de docteur en naturothérapie. À l’issue de leur formation, les étudiants doivent réussir l’examen du North American Board of Naturopathic Examiners avant d’obtenir une licence leur donnant le droit d’exercer.
En Allemagne, la formation en naturopathie est déjà intégrée à celle des médecins et des pharmaciens. On y forme aussi des praticiens spécialisés en naturopathie.

En France, il n’existe pas de diplôme officiel ni de réglementation encadrant l’exercice de la naturopathie.
Seul un certificat de fin de formation peut être délivré. Selon les écoles et les formations, le contenu de la formation et le contrôle des connaissances acquises peuvent être très différents.

La formation peut être très minimale (largement insuffisant) de quelques mois ou plus dense sur un format d’un an (en continu) ou de 3 ans (en format weekend). Certaines écoles se sont regroupées au sein d’un syndicat (SNP) ou d’un regroupement (FENA — AFNAT) pour faire reconnaitre la certification et le programme de formation. Une norme AFNOR va bientôt être publiée, la profession est en demande de réglementation. La formation des naturopathes varie donc d’un pays à l’autre, mais comprend généralement des cours de sciences médicales (biologie, anatomie, physiologie) et de techniques spécialisées (phytothérapie, hydrothérapie, médecine chinoise, etc.).

Spécialisation du naturopathe

La formation de naturopathe en France est une formation très généraliste. Elle ne requiert pas au préalable un bagage scientifique ou médical.
Le naturopathe pourra après son certificat continuer de se former pour acquérir un bagage plus solide notamment en micronutrition, en phytothérapie, en nutrition, en aromathérapie. Selon les écoles et formations, l’enseignement de ces disciplines peut être très léger. Quel est le travail d’un naturopathe ?

Le naturopathe vous posera des questions sur votre santé générale, votre mode de vie, vos habitudes alimentaires et même votre niveau de stress au travail…
En fait, il tentera de découvrir les causes profondes de votre malaise avant d’intervenir.
Par exemple, pour un mal de tête récurrent, il se demandera d’où il peut provenir : d’un problème nutritionnel (carences ou excès dans l’alimentation), d’un manque de sommeil, d’un stress excessif, d’un foie en surcharge, etc. Il proposera alors des conseils d’hygiène de vie adaptés. La première visite dure généralement une heure et demie à deux heures. Les visites suivantes sont de 60 minutes. Un nombre croissant de mutuelles couvrent les frais de consultation des naturopathes. Il faut vérifier auprès de sa mutuelle.

Choisir un bon naturopathe

La profession n’étant pas réglementée, afin de choisir un bon naturopathe, il faut pouvoir évaluer soi-même sa légitimité de pratique et ses connaissances. Il est important de s’assurer qu’il est bien certifié d’une école attestant d’un cursus de minimum de 1200 heures. Il est possible de chercher ou demander quelle a été sa formation initiale, et éventuellement ses formations complémentaires. Des annuaires payants pour les thérapeutes, comme le site Medoucine ou Resalib se sont chargés de référencer des naturopathes de confiance certifiés.



Histoire de la naturopathie

Valérie Serra

Héritière d’Hippocrate, médecin de l’Antiquité grecque, au Ve siècle avant Jésus-Christ, la naturopathie a été pratiquée en Occident jusqu’au début du XXe siècle et l’apparition des médicaments chimiques qui ont profondément modifié la pratique médicale et fait tomber en désuétude les médecines traditionnelles.
À partir de la fin du XIXe siècle, au moment où toutes les sciences connaissent un essor fabuleux, la médecine découvre et intègre une foule d’approches empiriques allant de l’homéopathie à l’hypnose, en passant par les pharmacopées de diverses cultures.
Aux États-Unis, le mouvement de la médecine éclectique a recours à de nombreuses approches médicales venues de la vieille Europe, d’Asie et des peuples amérindiens. Une panoplie de préparations d’herboristerie sont également fort populaires auprès des médecins de l’époque.
C’est dans cette mouvance que l’Allemand B. Lust (1870-1945), qui était médecin, ostéopathe et chiropraticien, fonde officiellement la naturopathie après avoir émigré aux États-Unis. En 1902, il inaugure, à New York, la première école de naturopathie : on y enseigne l’hydrothérapie, l’herboristerie, la nutrition, la physiothérapie, la physiologie, la psychologie et une foule d’autres techniques thérapeutiques.

C’est ainsi que, dans le premier quart du XXe siècle, s’ouvriront aux États-Unis quelques douzaines d’écoles de médecine naturopathique offrant des cours d’une durée variant de deux à quatre ans.
Parallèlement à ce foisonnement se développait une médecine davantage axée sur les interventions chirurgicales dites « lourdes » et sur les médicaments de synthèse issus de l’industrie pharmaceutique naissante.
Seuls les médecins formés dans les facultés de médecine sont alors autorisés à diagnostiquer et à traiter les maladies. Résultat : la majorité des écoles naturopathiques ferment leurs portes.
Cependant, à partir des années 1970, la naturopathie connaît un regain de popularité auprès du public. Quelques universités américaines commencent même à offrir une solide formation de quatre ans. C’est l’arrivée d’une nouvelle génération de naturopathes.
La naturopathie obtient une certaine reconnaissance au fil des ans.
En 1983, l’Organisation mondiale de la Santé recommandait aux autorités médicales de tous les pays d’intégrer la naturopathie aux services de santé publique.
En 1994, le gouvernement des États-Unis accordait, pour la recherche scientifique contre le sida, un budget à la Bastyr University, l’une des grandes écoles de naturopathie en Amérique du Nord.
La naturopathie a une dimension à la fois curative, mais aussi et avant tout préventive. Au sens de la véritable prévention, celle qui vise à maintenir un état de santé optimal par tous les moyens que la nature met à votre disposition.
En apprenant dès le plus jeune âge à vivre avec une bonne hygiène de vie, on peut éviter de créer des déséquilibres qui mènent à certaines maladies. C’est bien une médecine complémentaire et non alternative, elle ne remplace pas une consultation chez un médecin ou professionnel de santé. Un naturopathe ne pourra jamais demander l’arrêt ou la modification d’un traitement allopathique en cours.
C’est en cela que la naturopathie est une discipline globale, car bien s’alimenter n’est pas suffisant et n’a pas de sens si par ailleurs on est sédentaire et stressé, si on est malheureux en amour ou surmené au travail… Le naturopathe ne se limite donc pas à quelques conseils standardisés dans tel ou tel domaine, mais prend en considération tous les aspects qui composent notre vie : nous dans notre environnement.
Le thérapeute en naturopathie se doit d’être à l’écoute des besoins, des moyens (pas seulement financiers) de son client ou consultant. Il se doit d’adapter ses conseils à chacun.


Source : https://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=naturopathie_th

Déroulement de la séance

Valérie Serra

La consultation débute par une anamnèse : je pose des questions sur votre vie, vos habitudes, votre environnement de vie et sur tous vos systèmes organiques (système digestif, nerveux, endocrinien, gynécologique, etc.).

Je repère votre constitution par l’observation de la forme de votre corps, de votre visage, de vos mains, vos rides, vos digitoglyphes (empreintes digitales), ces derniers qui donnent une information sur votre fonctionnement émotionnel général, vos iris, je prends en compte votre groupe sanguin qui donne un reflet également de votre caractère…

Votre constitution m’oriente sur votre patrimoine génétique, vos tendances et vos fragilités et comment votre constitution a évolué au fil du temps c’est-à-dire votre tempérament : ce que vous avez fait de votre héritage génétique selon votre hygiène de vie et les évènements que vous avez traversés.

Pour confirmer vos faiblesses et vos forces, j’utilise l’iridologie. La pulsologie chinoise sera utilisée parfois aussi pour avoir un aperçu de l’énergétique pour chaque organe.

Je réalise une vitalométrie pour déterminer votre vitalité. Je détermine ensuite la cure à vous conseiller en fonction de votre vitalité, de vos carences et/ou de vos surcharges constatées. La première consultation dure entre 1 h 30 et 2 heures pour une problématique.

Les consultations de suivi de cette problématique, s’il est nécessaire de vous revoir, durent 1 heure environ. Je peux y rajouter un soin selon les besoins et vos souhaits.

Je vous accompagne et vous conseille pour des troubles fonctionnels sans atteinte lésionnelle du corps, je peux aussi vous accompagner en partenariat avec votre médecin dans le cadre de vos pathologies.

Après la prise de rendez-vous, je souhaite connaitre vos attentes et demandes, je vous fais également parvenir un questionnaire sur votre alimentation à me renvoyer par mail pour préparer au mieux la consultation.

Pour plus de renseignements, contactez-moi par mail, j’y répondrai sous 48 h.



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